Pour affronter l’hiver sereinement, mieux vaut avoir une maison bien isolée ! C’est la raison pour laquelle cette famille a décidé de refaire l’isolation de ses combles perdus aux Pégers-Reigniers, à Vertou.

Mais comment choisir l’entreprise qui viendra réaliser l’isolation chez vous ? Quand refaire l’isolation de ses combles ? À quelles aides pouvez-vous prétendre ? On vous dit tout…

Pourquoi refaire l’isolation des combles perdus ?

Vous n’êtes pas sans savoir que les tarifs de l’électricité et du gaz augmentent, en plus de certains autres produits de la vie courante. Mais alors, comment faire des économies d’énergie tout en restant au chaud ?

L’isolation des combles est peut-être la solution. En effet, le toit peut représenter jusqu’à 30% des déperditions de la chaleur de votre logement. Alors on vous laisse imaginer s’il n’est pas isolé…

Quand refaire mon isolation ?

Vous pouvez refaire votre isolation des combles dès que vous en ressentez le besoin dans votre maison, et plus particulièrement si elle a déjà plus de 15-20 ans. Mais il y a bien d’autres raisons, outre son âge, qui peuvent nuire à l’efficacité d’une isolation.

En ce sens, si vous avez subit un dégât des eaux par le toit, votre isolant a très probablement été mouillé et aura de moins bonnes performances thermiques. Même s’il sera amené à sécher à l’avenir, les dommages sur ses capacités sont irréversibles. N’hésitez pas à prêter attention à cela en allant faire une petite visite dans vos combles 1 fois par trimestre ! Même si l’humidité ne vient pas d’une fuite d’eau, elle pourrait venir de fortes intempéries ou encore de la condensation, tout particulièrement si vous n’avez pas de pare-vapeur. Alors, si la laine a été mouillée, ne cherchez pas, il est nécessaire de la renouveler !

Si votre isolation s’est tassée ! Parfois, sous son propre poids, l’isolation peut diminuer en épaisseur et donc en performances. Munissez-vous d’un mètre et mesurez : si vous avez moins de 15cm dans vos combles, inquiétez-vous des déperditions de chaleur !

Et pour finir, si votre laine a été mal posée et qu’elle fait des vagues, ou que vous constatez que l’air circule entre les lambourdes, alors son efficacité est sûrement altérée. Dans ce cas, mieux vaut faire venir un conseiller en rénovation pour vous aiguiller sur de potentiels changements à prévoir !

Mais à quelle période de l’année doit-on faire appel à un professionnel ?

Pour cela, il n’y a pas de règle ! L’important est de faire venir un expert chez vous pour constater les performances actuelles de votre laine. Il vous indiquera ainsi si elle est encore saine ou non, et s’il faut la déposer ou non.

Il est possible que les techniciens n’aient qu’à souffler par-dessus pour une meilleure performance. Pour nos poseurs, le meilleur moment de l’année, il n’y en a pas vraiment… Ou plutôt si, cela dépendra de la météo et de la configuration de votre toiture. S’il faut découvrir une partie en enlevant des tuiles, il vaut mieux qu’il ne pleuve pas ce jour-là, sinon l’eau pourrait s’infiltrer dans les combles. Le reste c’est plutôt une question de confort de travail pour eux puisque, en plein été, il fera potentiellement très chaud sous le toit !

Quelle épaisseur de laine doit-être soufflée ?

Pour répondre aux exigences des organismes de l’État qui délivrent les subventions comme Ma Prime Rénov par exemple, il vaut mieux partir sur un minimum de 30 centimètres pour un isolant traditionnel. Si vous vous situez dans une région relativement fraiche, rapprochez-vous d’un conseiller, mais l’épaisseur peut monter jusqu’à 40 centimètres pour prévenir des variations thermiques importantes.

Ici, Monsieur et Madame R. ont fait le choix de souffler dans leurs combles de la laine minérale. Ce matériau leur assure, avec une épaisseur de 35 centimètres, un confort d’été et d’hiver optimal !

Comment poser de la laine soufflée ?

Lorsque vous avez des combles perdus à isoler, cela ne sert à rien de réaliser une isolation sous rampants. Il vaut mieux renforcer les capacités isolantes de votre plancher, puisqu’il est en contact direct avec votre maison et ne risquera pas de laisser passer la chaleur. Selon la venue de votre expert en rénovation, vous avez sans doute choisi une laine en flocons qui sera à répartir sur l’ensemble du plancher avec une machine. On vous donne ici tous les petits tips Nant’artisans à respecter…

Tout d’abord, attention au moment de monter là-haut ! Il vous faudra être prudent et ne marcher que sur les solives pour ne pas risquer de traverser un plancher en placo.

Mais avant de souffler, vous allez devoir déposer la laine existante, surtout si elle est abimée. Une fois cela effectué, vous devez placer des réglettes à certains endroits stratégiques de vos combles, afin d’avoir une indication de la hauteur soufflée, et de pouvoir prétendre aux fameuses subventions de l’État. Pour les fixer, elles sont agrafées perpendiculairement aux solives avec leur base posée contre le plancher ou sur votre isolation existante (si vous rajoutez simplement par-dessus).

Cette pratique intervient en même temps que l’installation d’un pare-vapeur, si vous n’en avez pas déjà un. Celui-ci évitera la condensation et la stagnation de la vapeur d’eau dans vos combles. Selon vos besoins, les techniciens installeront également des protections de spots, des boîtiers électriques et/ou des conduits de vos cheminées ou poêles.

La puissance de la machine vous sera très utile pour répartir les flocons dans les moindre recoins, grâce à un tuyau optimisé pour la pose d’isolation. Cela vous aidera beaucoup, notamment selon la configuration de votre charpente qui peut, à certains endroits, être particulièrement difficile d’accès.

Quels sont les avantages et les inconvénients d’une isolation soufflée ?

Cette typologie d’isolation, très connue et répandue, possède de nombreux avantages notamment en termes de performance et de rapport qualité-prix. Elle permet un confort thermique optimal qui influe directement sur les économies d’énergie, d’environ 30%, pour votre logement. Grâce à sa répartition homogène, elle limite les ponts thermiques et augmente la durée de vie de votre toiture. De plus, si un jour vous avez besoin de rajouter une épaisseur à votre isolation existante, cette méthode est facilement renouvelable ! En termes de confort de pose, elle ne gratte pas et n’irrite pas la peau. Un véritable point positif pour votre logement !

Mais, comme toute isolation, on peut avoir à faire à des problématiques. Par exemple, le fait de souffler de la laine ne convient pas pour les combles aménagés ou aménageables. En termes de pose, cela nécessite d’avoir une machine spécifique, ou de la louer. Cette machine se révèle plutôt bruyante, mais la durée de chantier est courte donc les conséquences sont moindres.

Pour optimiser la durée du chantier et profiter au plus vite de votre nouvelle installation, faites confiance à une équipe de professionnels. En ce qui concerne le temps de mise en œuvre de cette solution, on l’estime à une demi-journée pour une isolation de 100m2 environ.

En bref, cette famille bénéficie, depuis début novembre, d’une isolation optimale pour son quotidien. Elle a déjà vu la différence, avec une température 2 à 3 degrés plus élevée que la normale, sans avoir eu à changer le mode de chauffage ni l’intensité. Alors, convaincus ? N’hésitez pas à faire expertiser votre isolation sans plus attendre, les subventions de l’État pour ces travaux peuvent s’arrêter à tout moment…

Rénover le sol de sa maison oui, mais avec du parquet c’est encore plus chaleureux ! À l’automne, monsieur et madame P. nous ont fait confiance pour la pose d’un parquet contrecollé en chêne dans leur entrée et dans le séjour. 

Cela vient comme une finition à la rénovation de cette maison nantaise à laquelle nous avions déjà participé pour la création d’une extension en bois, d’un bardage, d’un aménagement de l’escalier ainsi que pour la pose des menuiseries… Mais alors comment choisir le parquet ? Comment le poser ? Nous répondons à toutes vos interrogations…

Une rénovation globale de maison nantaise !

C’est près du centre-ville de Nantes que nos équipes se sont rendues pour moderniser cette très belle maison typique de la région. Des menuiseries à l’extension de la cuisine en passant par les sols, tout était à refaire ! Mais aujourd’hui, on vous amène avec nous pour découvrir le sol choisi par monsieur et madame P. Un sol typique et authentique qui permettra de donner un véritable charme à la pièce de vie !

Pourquoi avoir choisi le parquet ? 

Le parquet est un matériau noble. Ici, le bois utilisé est du chêne. Clair, simple et très agréable, il habille parfaitement une pièce et saura faire preuve d’une longévité à toute épreuve. Il est chaleureux et moderne, et leur permettra de bénéficier d’un confort quotidien. 

Très répandu dans les logements, il est l’un des revêtements de sol les plus appréciés des français et pour cause, il propose de nombreux avantages. Il est en effet solide et traditionnel. Il résiste de nombreuses années et, selon votre choix, il pourra être poncé à plusieurs reprises afin de le garder éclatant années après années. 

Le parquet existe depuis de très nombreuses décennies, notamment le parquet massif. C’est aux alentours des années 1980 que l’on a pu démocratiser ce matériau noble et assez luxueux grâce à la création du parquet contrecollé. Celui-ci peut être posé par des débutants et peut s’adapter à de nombreux critères car il propose une installation particulièrement souple. De plus, il donne accès à de nombreuses variétés de bois et à un entretien plus facile. 

Aujourd’hui on retrouve aussi le stratifié, qui imite le bois mais ne possède malheureusement pas toutes ses vertus. Il représente tout de même un très bon compromis pour la qualité-prix et permet d’imiter le parquet traditionnel grâce à un système d’impression qui reproduit les fibres du bois. 

Comment choisir son parquet ?

Ici, monsieur et madame P. ont fait le choix d’un parquet contrecollé en chêne. Mais, quels sont les différents types de parquet et comment faire pour s’y retrouver ? 

On a d’abord le parquet massif,
Qui est composé à 100% d’une seule essence de bois. Au niveau de sa pose, on est sur une pose collée ou clouée sur lambourde. 

Son avantage ? Il peut facilement être rénové, poncé plusieurs fois dans l’objectif de le remettre à neuf avec une vitrification ou un huilage par exemple. Le massif est très solide, il peut tenir des décennies. C’est ce qui explique son prix, ses caractéristiques de prestige ainsi que ses capacités d’apport esthétique à votre intérieur, inimitables. Toujours au niveau de son aspect, il vous donne une large gamme d’essences avec des couleurs, duretés, résistances différentes. Il peut également être vitrifié, ciré, blanchi, teinté, vieilli, brossé mais aussi rester naturel ! 

Le contrecollé,
Quant à lui, se compose de trois couches de bois. La première est celle qui se situera contre le sol, appelée « couche de contreparement ». Puis on aura une couche intermédiaire et finalement une couche d’usure, ici en chêne, appelée « couche de parement ».  

Les couches se distinguent par les bois qui les composent. La première est bien entendue du bois noble, les deux autres sont plutôt composées de résineux ou de bois aggloméré. Ces trois couches permettent à ce type de parquet de trouver une stabilité optimale et d’éviter les risques de dilatation ou de rétractation avec le temps. 

Selon vos besoins, et ceux de la pièce dans laquelle vous souhaitez l’installer, prêtez attention à l’épaisseur de la couche de bois noble, ou couche d’usure. Cela vous permettra de savoir combien de fois vous pourrez poncer votre parquet pour le rénover. Contrairement au massif, il ne peut être poncé que 6 fois maximum et possèdera une longévité inférieure, bien que conséquente, puisqu’elle atteint 50 ans. 

Lui aussi peut se décliner en plusieurs typologies de bois, de styles et même de couleurs. Pour faciliter son entretien et assurer sa protection, il est bien souvent vitrifié. 

Finissons par le parquet stratifié.
Il est la solution efficace et pas chère, qui saura ravir votre banquier ! En effet le stratifié ne se compose pas de bois mais imite seulement les fibres et les motifs de ce dernier. Il est bien souvent composé d’une couche de résine, aussi appelée couche d’usure, pour adhérer au sol et résister aux aller-venu du quotidien. La seconde est donc la couche décorative qui imitera la couleur, l’essence et l’imprimé du bois que vous aurez choisi. 

L’avantage du stratifié c’est qu’il se décline dans de très nombreux styles et coloris. Il est facile à entretenir mais est plus fragile que les deux parquets précédents. Il se dégrade donc plus vite et il est impossible de le rénover, à part en changeant toute la surface qu’il couvre. Pour limiter l’usure, préférez donc des lames épaisses, qui garantiront une couche plus stable. 

Au niveau de son entretien justement, il ne se raye pas et n’absorbe pas les tâches, ou alors très rarement. Il se nettoie aussi facilement que votre carrelage, avec une simple serpillère le tour est joué ! 

Concernant sa pose, la flottante est la plus répandue. Comme pour le contrecollé, elle est simple et rapide. Mais son avantage c’est qu’elle peut aussi se composer d’un système de clips, qui la rend amovible sans problème. Néanmoins, si vous souhaitez une stabilité à toute épreuve, on vous conseille la pose à colle. 

Quels critères de choix pour un parquet ?

Comme pour la pose, nous vous conseillons de vous référer à la surface de votre pièce, et donc à votre budget. En effet, si vous souhaitez une essence de bois particulière, il est nécessaire de vérifier si elle rentre dans votre budget selon les dimensions de la pièce. Pour les grandes pièces on suggère la pose de contrecollé qui permet un excellent rapport qualité-prix-usure.  

Par la suite, définissez vos critères selon l’essence du bois que vous désirez. Les teintes vont ainsi varier, et vous devez également prêter attention à l’usage du parquet selon la pièce choisie. Si vous souhaitez changer le sol d’une chambre ou d’un salon, le chêne et le hêtre sont deux types de bois très robustes. C’est d’ailleurs le matériau qui a inspiré monsieur et madame P. Au contraire, pour une pièce humide, il vaut mieux bien choisir son bois de façon à ce qu’il ne pourrisse pas trop rapidement. Les bois exotiques, comme le teck, le bambou, le merbau, le kempas ou encore l’acajou sauront parfaitement répondre à vos attentes. 

Quelles seront vos contraintes concernant l’entretien ou les finitions de votre sol ? En effet, un parquet massif ou contrecollé possède des exigences. Il est nécessaire d’appliquer une vitrification ou de l’huiler. S’il est vitrifié, ou verni, l’entretien sera simple pour vous et il vous suffira de le nettoyer en passant simplement la serpillère et un produit adapté. 

Toutefois, il sera plus sensible aux rayures qu’un parquet huilé. Ce dernier s’entretien avec un savon spécifique, et attention : pas de détergent ! Si on souhaite lui redonner de l’éclat après quelques temps, il vous suffit de le re-huiler complètement afin de le nourrir en profondeur. 

Pour finir, vous pouvez aussi avoir envie de partir sur un parquet brut. Cela vous permet de choisir vous-même entre la vitrification ou l’huilage, et de le teinter plus ou moins foncé selon vos goûts. 

La question à se poser c’est aussi : mon parquet sera-t-il très sollicité au quotidien ? En effet, on n’aura pas le même passage dans une entrée ou un séjour que dans une chambre. Il est donc nécessaire de se tenir informé, avec un spécialiste, des niveaux de dureté et de résistance à l’usure des parquets que vous aurez sélectionnés. 

Pour vous aider, on vous donne les significations des chiffres suivants : 21, 22 et 23. Si votre parquet est classé 21, cela veut dire qu’il convient à un passage modéré, voire même faible ou peu fréquent. C’est par exemple valable pour une chambre ou même un couloir sans accès vers l’extérieur. 

Le 22 correspond à un usage moyen qui s’habilitera très bien à une entrée, un séjour… 

Pour finir, le 23 correspond à un passage élevé comme une pièce ayant un accès vers l’extérieur ou pour un usage professionnel, comme un bureau par exemple. 

Mais, et si on voulait le même parquet dans la plupart des pièces, comment faire ? Eh bien il vous suffit simplement de prendre l’indice et le parquet correspondant à la pièce la plus fréquentée !

On oublie souvent qu’au quotidien, on n’est pas toujours très habiles de nos mains, on est même parfois maladroits… Donc : votre parquet sera-t-il exposé aux taches et rayures ? C’est notamment le cas des surfaces dans les salles à manger, les entrées ou les cuisines. Pour lutter contre les taches, n’hésitez pas à utiliser une huile ou un vernis de finition ! Pas d’inquiétude, bien souvent, elles disparaîtront avec un simple coup de serpillère.

En ce qui concerne les rayures, vous pourrez les effacer avec un ponçage local à la main et une nouvelle application d’huile. D’où l’avantage d’avoir un parquet massif ou contrecollé. Mais la plupart du temps, les rayures accidentelles passeront complètement inaperçues si elles sont minimes, surtout si votre parquet possède un aspect mat. 

Puis-je mettre un parquet dans ma salle de bain ou dans une pièce fortement exposée à l’humidité ? Vous aurez tendance à avoir un « non » à cette question. Cependant c’est bien évidemment possible ! Il vous suffit de choisir l’essence adaptée et une pose étanche. Pour une salle de bain, on privilégiera donc le chêne, le teck, le robinier, le bambou ou tout autre bois thermo traité. Afin d’assurer une pose cohérente avec les problématiques de la pièce, il est préférable de coller les lames sur le sol afin d’augmenter la stabilité, puis de réaliser une finition huilée ou vernie. Pour terminer, il est préférable de jointoyer les lames avec des cordons en mastic polymère, bien souvent de couleur noire, mais disponible dans d’autres teintes. Cela permet d’assurer une étanchéité optimale et de permettre à la matière de rester élastique et de proposer au bois de se dilater sans pour autant tout perturber. Au niveau de l’esthétique, on appelle cela un effet de pont de bateau !  

De quelle matière est composé votre sol initial sur lequel vous souhaitez installer votre parquet ? Si vous avez une chape en béton, et donc un sol neuf prêt à accueillir vos lames, il est préférable de choisir un parquet assez épais de façon à isoler un petit peu. Le collage en plein ou une pose flottante sont également recommandés. 

Cependant, si vous êtes en pleine rénovation et que votre sol actuel se compose de carrelage, un parquet peu épais conviendra, en pose flottante ou collée. Il vous faudra être vigilant quant à l’état de votre carrelage. Celui-ci devra être dégraissé et nettoyer de toute poussière au préalable, voire même poncé pour accueillir une pose collée. 

Encore une fois dans le cadre d’une rénovation, le support initial peut aussi être de la moquette ou un lino par exemple. Auquel cas il faudra installer votre parquet par-dessus avec une épaisseur réduire et une pose flottante. Pour toutes ces poses flottantes, préférez une sous-couche isophonique afin de renforcer le confort acoustique, d’absorber vos pas et ceux de votre entourage. 

Avez-vous, ou souhaitez-vous, que votre sol soit chauffant ? Si vous avez pour projet, ou si votre maison est déjà dotée d’un plancher chauffant, ou chauffant-rafraîchissant, il convient d’y prêter attention. En effet, avec du parquet, l’effet sera d’autant plus confortable pour votre quotidien, et séduira vos invités ! 

Mais pour le choix de votre parquet, il vous faudra un matériau compatible selon le système de chauffage, qu’il soit électrique ou hydraulique par exemple. Souvent les experts vous préconiseront une faible épaisseur de parquet, mais les exceptions existent ! Au niveau de la pose, pour un plancher chauffant simple, préférez une pose collée ou flottante. Au contraire, s’il est à la fois chauffant et rafraîchissant, il vous sera obligatoire de le coller en plein pour assurer stabilité et longévité ! 

Pour poser votre parquet, intéressez-vous à la superficie que vous souhaitez couvrir. En effet, la surface peut avoir une influence sur le type de parquet à choisir, sur l’esthétisme mais aussi sur votre budget. 

Esthétiquement parlant, vous pouvez choisir un parquet monolame, de grande largeur, pour convenir à une pièce moyenne voire grande (que l’on considère de plus de 12m2). D’ailleurs, si vous avez la chance d’avoir un budget extensible et une très grande pièce à habiller, on vous recommande fortement une pose de parquet originale, comme par exemple en point de Hongrie, qui donnera un rendu remarquable et distingué ! 

Sinon, si vous souhaitez habiller une petite surface, préférez des lames étroites ou des planches multifrises. Et pour finir, si c’est vraiment une petite pièce qui est à l’origine de votre aménagement d’intérieur, préférez une pose classique à l’anglaise.

Si, au contraire, vous préférez le parquet pour son caractère majestueux et pour sa robustesse, comme vous avez déjà pu observer dans les manoirs ou appartements haussmaniens, il vous faudrait des lames avec un aspect régulier et un grain fin. Cela permettra une homogénéité et vous conserverez une teinte naturelle, chaude ou même très foncée si vous privilégiez une finition typique brillante ou satinée. 

Vous souhaitez un parquet neuf à l’effet ancien et authentique ? C’est aussi possible ! Pour séduire avec un parquet vieilli, les fournisseurs ont pensé à tout notamment à un vieillissement par des procédés particuliers, appliqués en usine, qui donne un aspect centenaire. Pour cela, les lames sont soumises à des chocs mécaniques pour produire les traces d’usure et de rupture authentiques. Vous aurez ainsi des chanfreins irréguliers, des trous de vers, des fentes ouvertes ou encore des éraflures. S’en suivra l’application de produits oxydants sur la surface afin de modifier la teinte du bois. Un effet qui peut être accentué par une potentielle césure ou une huile-cire en finition de protection.

À Nantes, monsieur et madame P. se sont donc tournés vers un parquet contrecollé en chêne blanc, assez clair. Cela leur permet d’éclaircir la pièce, notamment à certains endroits, et de contraster avec les très belles teintes de peintures de leurs murs. Concernant le traitement, ils ont décidé de partir sur une vitrification qui leur permettra de bénéficier d’un entretien facile et pratique. 

Concernant la pose flottante, cela veut dire que votre parquet ne sera pas fixé directement au sol mais qu’il y sera simplement posé. Il y a donc des possibilités qu’il bouge, puisque le bois travaille, mais la pose sera simple, rapide et économique pour vous. Avec accord du propriétaire d’un logement dont vous êtes locataires, cela peut aussi être le compromis idéal. 

La pose clouée, quant à elle, est particulièrement adaptée aux parquets massifs, c’est-à-dire à partir de 20mm d’épaisseur. Cette pratique consiste à fixer votre nouveau sol sur lambourdes. Pour la pose clouée, vous avez la possibilité de poser sur un ancien revêtement comme par exemple sur un béton, un carrelage ou des dalles. Mais pour cela, il vous faut faire appel à un expert dans la pose. Par exemple pour un massif, qui coûte assez cher à l’achat, le fait de le faire installer par un professionnel vous évitera qu’il ne soit pas droit ou qu’il finisse par grincer. Le clouage demande beaucoup de dextérité et permettra une meilleure stabilisation du plancher et de la laine de verre, qui donnera aussi une meilleure isolation.

Nos conseils spécialement pour vous, amateurs de parquets…

Vous avez déjà un parquet mais vous avez envie de changer sa couleur ? Vous souhaitez modifier ses finitions ou encore en savoir plus sur ce qui le rend aussi unique ? Nant’artisans vous dit tout ! 

On se lasse parfois de la teinte choisie pour son parquet… Peut-être qu’un jour, monsieur et madame P. souhaiteront changer la couleur de leur parquet aujourd’hui clair pour un plus foncé eux aussi ! Alors nos astuces sont les suivantes… Pour foncer un parquet, vous pouvez faire confiance aux magasins de bricolage qui sauront vous conseiller des huiles teintées ou des vitrificateurs qui auront pour objectif d’assombrir vos lames. À l’inverse, si vous trouvez votre pièce sombre et que vous souhaitez blanchir votre parquet, vous pouvez utiliser de l’eau oxygénée, une lasure spéciale ou encore une cire blanchissante, ces solutions feront des merveilles ! 

Pour devenir de véritables experts pour parler parquet, on vous donne quelques petites définitions… Les nœuds, qui sont présents sur la matière du bois en règle générale, représentent des motifs naturels, gages de qualité et d’authenticité. Si on vous parle d’un parquet multifrise, cela veut dire que c’est un parquet sur lequel chaque lame de bois a plusieurs frises. Un effet original qui peut donner une illusion de grandeur à la pièce dans laquelle il est posé. Enfin, les chanfreins sont les motifs qui mettent en valeur la largeur des lames de bois. 

On distingue deux types de pose : la classique et les alternatives. Pour la classique, on évoque les choix les plus fréquents, surtout pour des pièces qui sont plus ou moins carrées, comme des chambres par exemple. Comme nous le disions, prendre en compte la source de lumière est primordial. Si la pièce dispose de plusieurs fenêtres, il convient de poser le parquet perpendiculairement à la plus grande d’entre elles.

Si la pièce se trouve être plutôt rectangulaire ou si la lumière entre de façon égale, on privilégiera deux possibilités : une pose dans le sens de la longueur de la pièce, ou une pose dans la largeur. Diamétralement opposées, la pose dans la longueur veut que les lames soient parallèles aux murs les plus longs de votre pièce. Si vous choisissez cette solution, comme monsieur et madame P., cela vous permettra d’allonger l’espace et de lui donner une vraie profondeur. De plus, la pose sera simple, rapide et économique. 

Concernant la pose dans la largeur, on parle de lames perpendiculaires aux murs les plus longs. Selon la configuration de votre pièce, vous pourrez ainsi équilibrer les volumes ou atténuer l’effet de longueur, parfois trop important pour une pièce rectangulaire. L’inconvénient est que cela représente un plus grand nombre de découpes.

Passons désormais aux modes alternatifs. Cela donne au parquet plus de caractère, une authenticité et une originalité pour votre intérieur. Vous aurez tout de même plus de découpes et de chutes que pour une pose classique, donc cela vous demandera un achat de lames plus conséquent. 

Nous avons par exemple la pose en diagonale qui est très recommandée pour agrandir ou aérer un petit espace. Elle permet aussi de donner une perspective raffinée à votre intérieur. 

Et enfin, notre chouchou : la pose de parquets en motifs. Très utilisée dans les appartements haussmanniens par exemple, elle donne un air chic et élégant et consiste à varier les sens de pose de parquet sur une même surface en alternant les diagonales. Par exemple, la pose en chevrons ou point de Hongrie suppose des lames qui se rejoignent sur leurs pointes en biseau. Cela donne un effet de crochet dans un sens et de bandes obliques dans l’autre. Assez similaire mais plus répandue, on a le parquet en bâtons rompus qui consistent à ce que les lames forment des chevrons qui se rejoignent en équerre sur les extrémités.  

Le fait de jouer avec les lames de parquet vous permet de donner une personnalité à votre intérieur mais aussi un véritable caractère ! Par exemple, si vous souhaitez habiller une grande pièce avec une pose droite, préférez des lames aux longueurs extravagantes, comme des lames de 180 à 220 centimètres. Pour une pièce plus petite, et pour jouer sur l’esthétisme, les lames courtes de 30 à 120 centimètres seront vos alliées ! 

Vous souhaitez innover encore davantage ? Tout est possible ! Il existe de nombreux motifs à l’anglaise et à la française qui vous permettent de jouer avec le sens des lames, d’ajuster vos envies à votre pièce et de lui donner une nouvelle dynamique. 

Choisir le sens de pose peut être compliqué, mais c’est aussi un choix qui doit vous être propre et qui est subjectif. Pour vous y aider on a deux astuces. Tout d’abord, listez les critères qui vous paraissent importants comme par exemple la forme et la taille de la pièce, la source de lumière principale, la largeur des lames de parquets ainsi que les effets que vous recherchez. Par la suite, pour vous aider à vous projeter, Nant’artisans vous propose des plans 3D, avec ou sans votre décoration. Enfin, une fois le parquet reçu, vous pouvez réaliser une pose à blanc afin de visualiser un peu mieux ce que cela peut donner en réel.

Un intérieur tout neuf et un confort pour votre quotidien ! 

Maintenant que vous savez tout sur le parquet, sur ses spécificités, vous saurez comment le choisir et, comment indiquer au professionnel à qui vous ferez appel, ce que vous voulez de A à Z ! Comme Monsieur et Madame P. vous pourrez ainsi profiter d’un intérieur riche en décoration mais à la fois épuré, simple mais rustique, authentique et magnifique. 

Chez Nant’artisans, toutes les solutions sont possibles et nos techniciens sont à votre écoute pour chacun de vos projets, puisque chaque intérieur est unique et doit vous ressembler ! 

C’est à Haute-Goulaine, en ce début de printemps, que les équipes Nant’artisans ont réalisé le projet idéal pour les journées ensoleillées : une terrasse bois ! Un charme authentique qui convenait parfaitement à la rénovation de la terrasse existante, plutôt délabrée par le temps et les phénomènes d’humidité. 

Comment rénover sa terrasse en une terrasse bois ?

Avec un mois de mars plutôt ensoleillé, et l’annonce imminent du troisième confinement, il n’a pas échappé à Monsieur et Madame B. que l’extérieur redevenait « the place to be ». C’est pourquoi, dans leur petite maison du vignoble nantais, ils se sont laissé tenter par une terrasse en bois, et pas n’importe laquelle ! 

Suite à ce projet, Axel, notre technicien-conseil, s’est rendu sur place pour apporter des précisions à nos clients. C’est ensemble qu’ils ont défini le choix du bois, selon ses teintes mais aussi ses spécificités, son entretien et sa pérennité dans le temps, ainsi que ses rainures. 

Une terrasse en pin sylvestre qui devra s’adapter parfaitement à la forme de la terrasse existante, en arc de cercle. En effet, l’objectif est de conserver un parking assez grand pour y stationner plusieurs véhicules mais aussi pour manœuvrer facilement.

« Nous voulions rénover notre ancienne terrasse avec des matériaux esthétiques et durables, qui nécessitent peu d’entretien. Mais il nous fallait respecter la disposition de l’agencement extérieur actuel ! Dès le premier rendez-vous, on a pu se projeter et on avait déjà hâte… »

Comment poser une terrasse en bois ?

Dans le cas de Monsieur et Madame B., la structure fixe de la terrasse nous a beaucoup aidé. Nos équipes ont enlevé le carrelage existant sur certaines parties afin d’assurer une stabilité. Par la suite, elles ont fixé, dans la largeur, des lambourdes, en pin également, à des écarts équivalents. C’est sur elles que viendront se visser les lames de la terrasse. 

Un coffrage des évacuations d’eaux pluviales, par les deux gouttières situées aux extrémités de la terrasse, a été renforcé avec du bois. 

Un accompagnement jusqu’à l’entretien !

Quand on fait une terrasse en bois, on espère qu’elle reste aussi chic et naturelle toute l’année. Avec Nant’artisans, c’est possible ! En effet, selon le bois choisi, nos experts vous accompagnent et vous conseillent sur l’entretien de votre terrasse. 

Pour éviter les phénomènes de glissade, mais aussi la prolifération de la mousse aux périodes humides, il est recommandé d’utiliser un balai brosse occasionnellement. Sans agresser votre terrasse, il vous permettra de passer entre les rainures et d’enlever les impuretés qui pourraient s’y glisser. Pour plus d’efficacité, n’hésitez pas à le tremper dans de l’eau chaude, ou même à utiliser un savon noir qui pourra faire disparaître de nombreuses tâches ! 

Mais attention ! Il est déconseillé d’utiliser un nettoyeur à haute-pression. Il pourrait enlever les couches protectrices du matériau et l’abimer. 

Si vous êtes plutôt du genre 0 entretien, la terrasse idéale pour vous existe et elle est composée de bois composite !